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Catégorie : Pérou 20xx

Le trek du Salkantay : jour 2

Le trek du Salkantay : jour 2

Jour 2 : 10/08/18.

La nuit fut froide, difficile de sortir de son sac de couchage au petit matin.

Il n’y a pas grand chose à dire sur cette journée.

Nous nous sommes rapprochés du Salkantay, allons le passer pour descendre sur son autre flan dans la jungle dans laquelle nous dormirons.

Et maintenant la descente..

dans laquelle les nuages ont tendance à vite nous rattraper rendant la visibilité nulle.

petit essai hors sentier, en pose longue.cette rivière entre en crue tous les 15-20 ans. La dernière fois c’était en 2010 et cela avait interrompu tous les axes routiers. Forçant par la même les américains à envoyer des hélicoptères pour évacuer le Macchu Picchu. (L’histoire ne dit pas si ce sont uniquement les ressortissants US qui ont été évacués).

Ce jour : 24 km

Total : 36 km en 2 jours.

Le trek du Salkantay : jour 1

Le trek du Salkantay : jour 1

Toujours droit devant, nous irons jusqu’au Macchu Picchu !

Prochaines nouvelles vers le 13-14/08.

— update du 14/08/18.

Jour 1 : 9/08/18

Le rdv est fixé à 5h devant l’agence pour un trek de 5 jours et 4 nuits.

Après quelques heures de bus nous sommes arrivés à Mollepata à environ 10 kilomètres de Cusco.

C’est ici que commence notre périple.

L’objectif est de rallier le Macchu Picchu en passant par les montagnes.

C’est l’un des nombreux chemins possibles (170 existeraient, une 10zaine praticables).

La première étape consiste donc à rejoindre le lac Humantay, mission accomplie après 1h30 de grimpettes – sans chevaux ni trop de pauses.

Les premières difficultés se font sentir : difficultés à respirer, froid et vent cinglant et mal d’altitude pour terminer.

Pour perdons à cette occasion une personne du groupe. (Elle retournera à Cusco).

D’où l’importance d’y aller à son rythme, de faire des pauses et de prendre quelques plantes locales pour tenir :

– coca : énergie

– muña : pour lutter contre le mal d’altitude.

(Ce ne sont que quelques unes de leurs utilités).

un premier camp que nous laisserons vite loin derrière .

Nous nous enfonçons dans les montagnes :

en bas, au milieu de la photo, on distingue le point de départ de ce matin.

Puis nous rapprochons du sommet, la végétation change.

Le temps reste très changeant , montagne oblige.

D’ailleurs, pour la petite histoire il existe plus de 50 micro climats différents entre le lac et Cusco. Ceci expliquant les plusieurs centaines de variétés de maïs et de pomme de terre.

Et enfin le lac !

après une pause bien méritée nous descendons pour aller se poser au camp dans les environs de Soraypampa au pied du mont Salkantay (6271 m). Nous y passerons l’après-midi et la nuit.(histoire de bien s’acclimater).

Avant du goût du lendemain :

Vue du Salkantay depuis le camp, nous le gravirons demain

total du jour : 12 km

Cuzco !

Cuzco !

style Andin !

Nous séjournons dans une petite auberge bretonne (oui bretonne) dans le quartier de San Blas aux alentours de 3500m.

Temps prévu ici : 6-7 jours. (Mais bon on a vu que tout cela n’est qu’approximation).

Nous sommes désormais plus haut que le Mont Terror en Antarctique. (Je trouve que le nom claque).

Quartier à flanc de montagne, plein de pentes et d’escaliers.

Ici toutes les fondations des bâtiments sont protégées puisqu’il s’agit de pierres incas. On n’a pas le droit de les détruire mais on peut construire par dessus

Toc, emboîtement sans ciment (à première vue).

La place des armes (c’est un peu comme celle de la mairie, y’en a partout).

La cathédrale de Cuzco

Pour le repas du soir :

Ceviche mixto : poulpes et truites la composition sera à retrouver dans l’article sur la nourriture.

El très léches avec une pensée et des pétales de fleurs de pomme de terre.

Pêle-mêle !

Pêle-mêle !

Voici donc quelques photos d’Arequipa et de ses environs.

Celles des plateaux montagneux correspondent au trajet entre Cabanaconde et Arequipa.

Arequipa les plateaux

12voici des champs en terrasse à perte de vue.

Vendredi jour de fête nationale, vécue depuis Cabanaconde :

ici tout le monde participe, même les enfants et ceci depuis la maternelle (ou l’équivalent local).

Sur la place

Cruz del condor :

beaucoup de colibris mais pas de condors. (En vrai on les a vu avant d’arriver la haut mais le trajet étant ce qu’il est..)

Sur ce je vous laisse..

«On n’a jamais dit que cela devait être logique »

«On n’a jamais dit que cela devait être logique »

Bien ou Bien !

L’estomac plein. C’est l’essentiel 🙂

En fait la vie étant ce qu’elle est et aussi pour des raisons techniques nous sommes restés à Arequipa pour quelques jours de plus.

On en a profité pour faire connaissance avec nos voisines autour d’un bbc. (Qui n’était la veille rien d’autre qu’une fanfaronnade d’un mec un peu fatigué).